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j aime contrarier
2 février 2024

Merci Gabi !

On va pouvoir continuer à consommer nos cinq pesticides par jour.

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Commentaires
M
C'est ce que j'ai compris ainsi que la liste des cancers qui vont augmenter de 30% en moyenne...
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E
Les premières mesures annoncées par le gouvernement pour tenter de répondre à la colère des agricultrices et agriculteurs ciblent l’écologie, comme le demande la FNSEA. Sans apporter de réponse pour une juste rémunération <br /> <br /> Un recul écologique et social orchestré par la FNSEA et l’agrobusiness.<br /> <br /> <br /> <br /> En favorisant les tenants de l'agriculture intensive et agro-industrielle plus que le monde agricole dans sa diversité, le gouvernement annonce aujourd'hui un nouvel échec politique, sanitaire et environnemental .<br /> <br /> <br /> <br /> Gabriel Attal et Emmanuel Macron n’ont fait nulle mention des énormes marges de la grande distribution et de l’agroalimentaire dans leurs discours d’hier. Ni aucune mention des coûts de production qui explosent dans les fermes, sans que les rémunérations versées aux agriculteurs et agricultrices n’augmentent, quand les consommatrices et consommateurs voient, eux, leur ticket de caisse s’alourdir. Les premières mesures annoncées par le gouvernement visent quasi exclusivement les normes environnementales. <br /> <br /> <br /> <br /> La FNSEA et les Jeunes Agriculteurs demandent l’« accélération des projets de stockage d’eau » – comprenez les mégabassines ; le « curage des cours d’eau » – à ne pas confondre avec leur entretien, le curage détruisant faune et flore ; le refus de délimitation des « Zones Humides » – qui permettent pourtant de protéger ce type de zones, essentielles à la biodiversité et au cycle de l’eau ; une « dérogation sur les 4 % de jachères » – les jachères permettent pourtant de laisser la terre se reposer ; la « limitation des recours et durées d’instruction » des projets – comprenez les projets agro-industriels ; le placement des agents de l’Office français de la biodiversité « sous l’autorité du Préfet » ; ou le « rejet intégral et immédiat de toutes les surtranspositions » – si, par exemple, la France décidait de faire mieux que l’Europe en matière d’interdiction de pesticides . Les agriculteurs et agricultrices figurent pourtant parmi les premières victimes des pesticides, comme en témoignent les chiffres de la Mutualité sociale agricole. La reconnaissance des pathologies liées aux pesticides en maladies professionnelles est certes récente, et la procédure complexe, en particulier pour les agricultrices. Mais leur nombre ne cesse d’augmenter. Sans oublier le nombre croissant de cancers chez les enfants dont les écoles ou maisons sont exposées.<br /> <br /> <br /> <br /> « Ce n’est pas, comme le font les dirigeants de la FNSEA, en demandant à pouvoir détruire des haies, en instrumentalisant le sujet des jachères, en éludant la question du partage équitable des terres et de l’eau, en négociant des avantages pour la production d’agrocarburants, que nous résoudrons en profondeur les problématiques de notre métier de paysan » estime la Confédération paysanne dans un communiqué. « Ce dont nous avons besoin, c’est de s’attaquer aux racines du problème en offrant plus de protection sociale et économique aux agricultrices et agriculteurs », écrit encore ce syndicat agricole. <br /> <br /> <br /> <br /> Repenser tout le système agricole en place. Tel est le souhait de la Confédération paysanne qui propose une rupture avec ce « dogme du libre-échange », en s’en prenant « au cœur du système, avec des mesures d’ampleur »
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Z
Oui, mais les routes se débloquent et les agriculteurs rentrent chez eux mon Loulou<br /> <br /> Bon vendredi - Zaza
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